dimanche 9 août 2009

"La femme du Vème", de Douglas Kennedy.

Douglas Kennedy, y'a pas à dire : il a une tête de mec sympa. Il est américain, personne n'est parfait, mais il aime bien la France. Il parle d'ailleurs admirablement bien le français. Depuis ses débuts dans l'écriture il y a une dizaine d'année, chacun de ses romans est un best-seller ( "L'homme qui voulait vivre sa vie", "Les charmes discrets de la vie conjugale"...). Et bien pourtant, je n'accroche pas.

Ses romans sont en général assez prenants, on a du mal à les poser pour faire autre chose, mais à chaque fois, c'est pour moi une décéption. "La femme du Vème" n'echappe pas à la règle. et je pense que c'est le moins bon de ses romans.

Harry Ricks, un professeur d'université américain débarque en France seul, sans boulot et sans un sou. Après quelques mésaventures rocambolesques, il se retrouve dans un loué sordide à faire un boulot louche. Il est au fond du trou. A ce moment, il fait la rencontre d'une femme dont il tombe amoureux. Mais il ne doit la voir que deux fois par semaines, à 17h00, et pour deux heures seulement. Depuis cette rencontre, des événements inattendus surviennent...


Je ne peux pas trop en dire plus sur l'histoire sans dévoiler une partie des raisons de ces événements. Autant je m'étais bien laissé prendre dans l'histoire de "Les charmes discrets de la vie conjugale", autant là, je n'y arrive pas. L'histoire est abracadabrante, les personnages et les situations sont vraiment stéréotypés. En plus, le surnaturel dans les romans, c'est pas ma tasse de thé.


Au final, je vois un roman assez simpliste, sans grande originalité, léger malgré son volume. 150 pages de moins et c'était un Marc Levy !

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